OPTIMIS’ACTION présent sur BFM BUSINESS

Pour les entreprises, optimiser les coûts est un aspect essentiel pour continuer à se développer. Le cabinet Optimis’Action les accompagne dans cette démarche sur les sujets liés aux ressources humaines et à la fiscalité industrielle, et les aide à suivre les différentes évolutions législatives. William DEBUSSIER, Directeur Associé et Flavie DENOUAL, Responsable Commerciale, nous parlent de ces enjeux.

Quelles sont les expertises du cabinet Optimis’Action ?

William Debussier : Optimis’Action est une société qui existe depuis 1995 sur le marché de l’optimisation des coûts, spécifiquement sur deux métiers : l’optimisation des ressources humaines au travers des coûts sociaux et des subventions liées au recrutement et à l’intégration de nouveaux collaborateurs, et puis les aspects liés à la fiscalité industrielle – le foncier, l’énergie et l’innovation. Notre démarche est volontairement hyper spécialisée pour conserver une forte valeur ajoutée. Entreprise à taille humaine, nous sommes certifiés ISQ depuis 2002 ce qui permet de traiter chacun de nos dossiers de manière très personnalisée.

Vous avez récemment lancé une nouvelle activité sur la recherche de subventions liées au recrutement et à l’intégration de nouveaux collaborateurs, en quoi cela consiste ?

Flavie Denoual: Nous avons toujours travaillé sur l’optimisation des charges sociales patronales, qui constitue notre cœur de métier. Comme il y a beaucoup d’évolutions législatives et réglementaires sur ces questions, il est impératif d’être parfaitement à jour. Une des dernières évolutions sur ce point est la loi Avenir Professionnel de 2018, qui donne aux entreprises la possibilité de demander des subventions auprès de différents organismes à chaque fois qu’ils recrutent un salarié, pour accompagner la transmission de compétences et de savoirs nécessaires pour l’intégrer et qu’il soit efficace le plus tôt possible. Ces subventions, sous certaines conditions, sont de l’ordre de 10.000, voire 20.000 euros pour chaque personne recrutée. 

En quoi devez-vous vous adapter à une certaine complexité liée aux évolutions législatives, mais aussi aux systèmes de paie ?

WD : La complexité vient du droit social qui est sans cesse amendé : ces corrections sont législatives, réglementaires, mais aussi du jurisprudentielles. Pour les entreprises, il est très difficile de faire face à cette abondance, et puis en parallèle, elles développent des organisations et des systèmes de paie de plus en plus complexes, qui sont parfois dématérialisés, parfois délocalisés ou centralisés, et, entre ce cadre légal et l’organisation propre de l’entreprise, il est souvent difficile d’être en parfaite cohérence.

FD : Nous avons besoin d’être quotidiennement en veille sur ces évolutions législatives. Par exemple, la méthode pour monter les dossiers mais également les montants des subventions accordées peuvent varier d’un mois sur l’autre. Nous avons donc des experts dédiés à cette veille qui nous permettent de connaître les nouvelles dispositions et de pouvoir proposer de nouvelles solutions à nos clients.

WD : Les entreprises n’ont pas le temps de faire ce suivi, car elles sont concentrées sur leur cœur de métier. Notre œil de spécialiste nous permet de leur apporter cette valeur ajoutée, et c’est ce qui fait notre force et notre longévité.